Tu penses que tu n’as pas “le bon profil” parce que tu n’as pas fait une grande école ? Tu te demandes si c’est possible de bosser dans le business sans avoir Sciences Po ou HEC sur ton CV ? Spoiler : non seulement c’est possible, mais c’est même une force. Voici pourquoi.
✅ 1. Le terrain t’apprend plus que n’importe quel cours magistral
Les écoles te donnent parfois de la théorie. Mais la vraie vie commerciale, c’est :
- Te prendre des “non” et apprendre à rebondir
- Savoir comment relancer intelligemment un prospect froid
- Identifier les signaux d’achat dans une conversation
- Décider vite, ajuster ton discours, closer
🎯 Rien de tout ça ne s’apprend dans un TD. Ça s’apprend sur le terrain, au contact du client. Et c’est ce que recherchent les startups : des gens prêts à agir, pas à réciter.
✅ 2. Les startups recrutent des profils qui savent faire, pas juste briller sur un CV
Aujourd’hui, ce qui compte, c’est ce que tu es capable de produire. Et surtout :
- Gérer un cycle de vente de A à Z
- Qualifier un fichier de prospects en autonomie
- Conduire un call commercial avec impact
- Transformer un “peut-être” en “on y va”
🎯 Peu importe que tu viennes d’un BTS, d’une fac de socio ou que tu aies appris la vente sur le terrain : si tu as déjà une première expérience commerciale ou un bac+2, tu as ta place.
Pas besoin d’un master d’école de commerce pour convaincre, closer, ou bâtir une stratégie commerciale. Ce qui compte, c’est ta capacité à apprendre, à t’adapter… et à passer à l’action.
✅ 3. Le mindset compte plus que la ligne « diplôme »
Les vrais game changers ont souvent :
- Une grosse capacité à apprendre vite
- L’envie de se dépasser
- Le goût du contact humain et de l’impact direct
- Une tolérance au rejet (et même une forme de plaisir à le retourner)
🔥 Ce sont ces soft skills qui font la différence dans une carrière commerciale. Et elles ne dépendent ni d’un concours, ni d’un label d’école.
Tu peux venir d’un parcours “normal”, tant que tu arrives avec l’énergie, la volonté de progresser, et une vraie envie de passer à l’action.
✅ 4. Les outils d’aujourd’hui changent la donne
Les écoles enseignent encore les 4P du marketing. Pendant ce temps-là, le terrain a changé :
- Les Business Developers utilisent l’IA pour qualifier des leads
- Ils automatisent leur prospection (PhantomBuster, Apollo, Hubspot…)
- Ils construisent des stratégies d’acquisition multicanal et data-driven
- Ils pitchent, négocient, et suivent leurs KPIs en temps réel
📊 Ce métier est technique, moderne, évolutif. Et ces outils sont accessibles à tous ceux qui sont bien formés. Pas besoin de 5 ans d’études théoriques, il faut juste apprendre à s’en servir concrètement.
✅ 5. Ton profil “pas comme les autres” est une force
Tu n’as pas suivi un parcours classique ? Tant mieux.
Les meilleurs BizDev viennent souvent :
- Du terrain (commerce, restauration, indépendant…)
- D’une reconversion commerciale après un bac+2
- De parcours atypiques avec une vraie capacité à convaincre
🦾 Ce que cherchent les startups aujourd’hui : de l’authenticité, de l’adaptabilité, de l’impact. Pas des clones formatés.
🎓 Et maintenant ? Apprends le métier, pour de vrai.
Tu n’as pas besoin d’un diplôme d’élite. Tu as besoin d’un cadre, d’une méthode, et d’outils concrets.
🚀 C’est ce que propose notre bootcamp Business Developer 4.0 chez DMH & Associés :
- Qualification de leads (BANT, MEDDIC)
- Prospection avec IA et outils digitaux
- Plan d’actions commerciales + KPIs
- Techniques de négo (BATNA, ZOPA, closing)
- Création de devis pro + maîtrise des aspects juridiques
- Amélioration de la communication écrite et orale
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💬 En résumé ?
❌ Tu ne viens pas d’une grande école ?
✅ Parfait. Le marché a besoin de profils comme toi.
Avec de la volonté, une vraie formation et les bons outils, tu peux devenir un(e) Business Developer redoutable. Et même meilleur.e que beaucoup de diplômés “prestige”.